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Quand on fait le tour de la Terre dans un vaisseau imaginaire, on aperçoit des ours, des blaireaux, des tatous... des homards, des écureuils roux... des trèfles, des palmiers, des bambous... Avec les roches, l'eau et l'air, tout ce petit monde s'organise et façonne des tableaux vivants, tous différents. Pour faire sérieux, on les appelle des écosystèmes.

Il était une fois, il n'y a pas si longtemps, un jeune écrivain très appliqué, qui ne faisait jamais de faute de grammaire et utilisait toujours les mots justes, qu'il assemblait avec style. Il restait chaque jour enfermé dans sa maison pour écrire et il sortait seulement pour acheter à manger. Et un jour, au supermarché, il entra en collision avec une fée très vilaine. Elle lança alors au jeune homme un sort terrible : tant qu'il sera écrivain, il perdra toujours la dernière page de chaque histoire qu'il écrira. Et depuis lors, il en était ainsi : soit la dernière feuille s'envolait par la fenêtre, soit elle était envoyée par erreur dans un pays lointain ou était mangée par le chien... Et comme personne ne s'intéresse aux histoires sans fin, l'écrivain ruiné dut vendre tout ce qu'il avait et il décida de partir dans le monde chercher fortune. Allant de pays en pays et de métier en métier, il remarqua qu'il se faisait bien plus d'amis qu'il n'en avait quand il restait enfermé chez lui. Et ce n'était que le début de ses surprises...

Un enfant demande à l'illustrateur du livre de lui dessiner des chevals pour l'anniversaire de son papa (parce que « s'il saurait dessiner, il aurait pas demandé »). - On dit les chevaux, pas les chevals, lui répond-il. - Oui, mais moi, j'aime mieux les chevals ! Tu sais pas les faire ? - Ben si, je suis en train d'en dessiner un. - Un quoi ? - Ben... Un cheval... Et le dialogue n'est bien sûr pas fini... Pas facile de parler sans faire de fautes quand on est un petit bonhomme surexcité, à cause que c'est l'anniversaire de son papa, et qu'on veut lui offrir un joli dessin ! Heureusement, derrière chaque album, il y a une illustratrice ou un illustrateur prêt à tout pour faire plaisir aux enfants. Enfin, presque tout... Les paroles des enfants sont toujours d'une logique pleine de drôlerie quand celle-ci s'oppose aux bizarreries de la langue française !

Robert Larouce, aventurier de papier, chemineur de parchemins, ratisseur de bibliothèques : cet aventurier a pour spécialité de traquer les monstres qui se cachent dans les livres. Mais quels monstres me direz-vous ? Eh bien, il y a les Orthographios, qui déforment les mots jusqu'à les rendre méconnaissables, les Ponctuatises qui mettent les points d'exclamation en question et qui enlèvent les virgules, les Dislexus qui mélangent impitoyablement les lettres et les Conjugator qui désaccordent les verbes. Mais l'un des pires de tous, c'est le Grignoteur de lettres. On l'a surnommé le Vampire des encriers, la Calamité des cahiers, le Cauchemar des vieux grimoires. « Mais je vous en prie, apturez ce monstre au plus vite ! ». Argh ! Il est là ! Il a avalé un premier 'C' !

Quatrième de couverture : " Alors que Ben attend patiemment que sa mère vienne lui lire la fin de son conte préféré, les trois petits cochons s'introduisent dans sa maison... et le loup n'est pas loin non plus ! Mais si, cette fois, le fin de l'histoire était différente ? "

Quatrième de couverture : " Papy Bedon a un gros ventre, un très gros ventre, c'est assez pratique et souvent amusant ! Mais si le ventre de Papy Bedon est si gros, c'est surtout que dedans, il y a des souvenirs, un monde de souvenirs ! Des souvenirs qu'il fabrique avec son petit-fils au parc ou sur la plage, mais aussi ceux de sa vie d'avant... Ce sont ces moments de partage que raconte ce petit garçon à travers un récit plein de tendresse et de complicité. "

Quatrième de couverture : " Marcel est un chou de Bruxelles. Une terreur, un vrai dur à cuire. Son passe-temps préféré ? Faire peur aux enfants ! "

Quatrième de couverture : " Tout le monde connaît l'histoire de la Belle au bois dormant. Tout le monde sait que la pri,cesse a dormi cent ans avant d'être réveillée par le Prince charmant. Qu'ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Mais croyez-vous vraiment que ce fut aussi simple ? "

Quatrième de couverture : '' " Je me sens seul. Je n'ai pas d'amis ", se désole le petit galapo d'Afrique. Et seul le gros lion, qui a la réputation d'être très méchant, est d'accord pour être son ami. Cela cache quelque chose... Non ? "

Quatrième de couverture : " Petit Noun, l'hippopotame bleu, habitait l'Egypte antique. Après un long sommeil sous terre qui dura des jours, des mois, des siècles... il s'éveilla en sursaut. Tout avait tellement changé autour de lui. Seules restaient les pyramides. " Il faut que je retrouve ma famille, mes amis, mes frères." se dit Petit Noun. Et il se mit en route. "

Arrivé en avance pour son premier cours de piano, un petit garçon entreprend de découvrir seul le majestueux instrument. Trop petit pour atteindre les touches, il se hisse sur son tabouret, tant et si bien qu'il tombe à l'intérieur du piano. C'est le début d'un voyage plein de surprenantes découvertes.

Un platane centenaire situé dans un parc raconte tout ce qu'il a vu autour de lui depuis qu'il a été planté là. Témoin des saisons, des amours, de la vie quotidienne, cet ancêtre vénérable est aujourd'hui menacé par des travaux. Un album poétique et engagé qui encourage les enfants à regarder les arbres d'un autre oeil et à les protéger. Electre 2021

D'abord, il y eut Moi. Et un jour, il y eut Toi.

Monique, Muriel et Mokhtar sont inquiets. Michel la mouette semble bien mal en point...

Après un premier Super Potes très remarqué, le bonheur de vivre ensemble revisité, même quand on est différents. Avec son ciré jaune et son parapluie, Plouf le canard n'aime pas l'eau, et encore moins la pluie. Une nuit d'orage, il recueille un drôle de visiteur perdu : Nouille, une toute petite grenouille qui, elle, ADORE l'eau. D'ailleurs Nouille choisit de s'installer sous le trou ouvert dans le toit. Plic plic ! Que Plouf répare au matin, tiens ! au grand dam de Nouille. Plouf décide d'aider Nouille à retrouver sa maison. Et les voilà partis, à vélo, en bateau - sans oublier bien sûr parapluie et ciré. Ce sera le début d'une belle amitié qu'ils n'avaient pas vu arriver... et qui va changer leur vie ! Plic ! Qui a dit : « Qui se ressemble s'assemble » ? Sûrement pas Plouf et Nouille ! Et pour la petite histoire, une traduction non genrée, à la demande de l'auteur !

Lorsque je suis perdu dans les rayons du supermarché, même pas peur ! Tu sais pourquoi ? Parce que j'ai mon doudou ! Lorsque je suis au zoo face aux ours, singes et lions, même pas peur ! Tu sais pourquoi ? Parce que j'ai mon doudou ! Lorsqu'il fait nuit et que je suis seul dans mon lit ? Même pas peur ! Tu sais pourquoi ?