Marigny enquête sur la disparition d'une jeune femme : Anne-Sophie Domon. Il s'entretient avec le père de celle-ci : " Il faut que je vous dise, adjudant-chef, mais ma femme, hier soir, comme elle était morte d'inquiétude à cause de la disparition de not' gamine, elle a téléphoné à un de ses cousins en retraite de la police, amoureux de la Loue où il vient pêcher la truite en été, afin qu'il prenne part aux recherches. Ca vous dérange ? Tout ce qui peut faire avancer l'enquête et donc mettre les coupables sous les verrous est le bienvenu, Monsieur Domon. Mais cette enquête relève de la gendarmerie et non de la police nationale ! C'est entendu, adjudant-chef ! Tout cela nous le savons ! D'autre part, il faudra que je reçoive de monsieur le procureur l'autorisation de le laisser se joindre à nous, et ce ne pourra être qu'officieux ! Totalement officieux ! Je m'en doute bien ! Comment s'appelle-t-il, ce policier ? Mégret ! ... Jules Mégret. C'est le fameux commissaire principal du Quai des Orfèvres ! L'as de la PJ ! "